J’ai trouvé là une préface pour un livre que j’écrirai peut-être…  si la modestie ne m’étouffe pas chaque fois que j’entre chez un libraire ou dans une bibliothèque et que les bras me tombent devant tant de choses écrites et par les plus grands!

« Je ne parle pas des vivants, parce que la mort et le temps n’ont pas pu accomplir leur travail de faucheur, de crible, de critique et d’arbitre; et je parle des morts comme s’ils étaient vivants ».

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