À regarder cette vidéo, on se rend bien compte qu’il se passe quelque chose de vrai, de palpable.
https://www.youtube.com/watch?v=JK5czd4RtTQ#t=346
L’invisible âme déferle et on est retournés, surpris par une vague de larmes qui ne sont pas de la tristesse mais un flot d’émotion.
Cela, voyez-vous, ne s’invente pas.
On n’écrit pas bien, on ne chante pas bien, on ne joue pas bien, on ne peins pas bien s’il n’y a pas l’émotion comme moteur, comme propulseur.
Quand on est touché par ce qu’on entend ou ce qu’on voit, c’est le Divin qui se manifeste. Le Sacré. J’en suis de plus en plus convaincue.
Et pour transmettre « ça », qui est le l’amour sonore, visuel ou liquide, il faut avoir une âme et la montrer.
On chante, on peint, on écrit avec son sang. On ne peut pas « faire comme si », prétendre, jouer à cache-cache avec la vérité. Sinon, ça « sonne faux ».
Il faut que l’instrument soit accordé. Et l’instrument, c’est soi.
Tu ne peux pas toucher les autres si tu n’es pas toi-même touchant. Tu ne peux pas illuminer la vie des autres si tu es éteins.
Et chaque fois qu’on est atteint au coeur, c’est un cadeau de la vie. Je suis heureuse de voir Simon pleurer, cela me rassure sur le personnage. Il n’est plus tout à fait le même à mes yeux maintenant.
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