Gary voulait dire “feu”.
C’est l’un de mes auteurs préférés qui a su allumer chez-moi le goût de la lecture et de l’aventure…humaine. “La promesse de l’aube” explique son parcours. “La nuit sera calme” sa mélancolie. Quelqu’un a écrit que c’est le mal-aise ou le chagrin qui font couler les mots et inspirent les écrivains. Comme toute théorie, il y a du vrai. Mais je connais aussi des auteurs heureux, comme Jean d’Ormesson, alors…
Mais Gary, c’était une catégorie à part. Comme l’a été Stephan Zweig. Des hommes d’une autre époque. Il a tout
Il aurait eu 100 ans aujourd’hui. Est-ce que cela aurait changé quelque chose à son oeuvre? Certainement pas. Et comme les êtres intenses, il brûlait vite et bien. Tout ce qu’il touchait.
Il s’est éteint de lui-même, lorsqu’il a choisi d’éteindre la lumière. Voici la lettre d’explication qu’il a laissée.
“30 août 1979
Pour la presse. Jour J. Aucun rapport avec Jean Seberg. Les fervents du cœur brisé sont priés de s’adresser ailleurs.
Je me suis enfin exprimé entièrement.”
Qui peut en dire autant?
Merci de nous “nourrir’ de tant, chère Mia.
Passer sur ton blog esttoujours un bonheur.
Amitiés
S.
Merci chère Sandrine!